A l’occasion de la conférence des ambassadeurs qui s’est tenue le 1er septembre à l’Élysée, le président français s’est exprimé sur la chute de l’influence de son pays dans le continent. L’urgence d’une reconquête recommandée.
La rencontre présidée par Emmanuel Macron a permis de faire un état des lieux de la politique française à l’extérieur, mais aussi de redéfinir les grands axes de ses actions dans le monde en général et particulièrement en Afrique.
En exhortant les diplomates à ‘’riposter aux narratifs russe, chinois ou truc’’ le patron de l’Élysée se lance dans une conquête de charme face à la sympathie galopantes des populations africaines envers les rivaux français sur le continent. Cependant, la minimalisation de l’intelligence africaine au bénéfice des étrangers qu’expose le chef d’État français sous-tend l’incapacité des africains à mener leurs combats d’eux-mêmes. Or, la jeunesse africaine, inspirée des ingérences de Paris dans les pays ainsi que le passé colonial douloureux causé par la France, incite son éveil et exige une revue des contrats avec l’ancienne puissance colonisatrice. Dans le registre des réclamations, le départ des troupes françaises en Afrique et la fin du FCFA se situent au premier rang des contestations.
A propos du virtuel notamment les réseaux sociaux, Emmanuel Macron appelle les représentants de l’État français en service à l’étranger à être ‘’plus actifs sur les réseaux sociaux’’. Une alerte dans un système d’inter connectivité caractérisé par les influences du numérique et la diffusion rapide des savoirs et des informations jadis tenues secrètes.
La rencontre présidée par Emmanuel Macron a permis de faire un état des lieux de la politique française à l’extérieur, mais aussi de redéfinir les grands axes de ses actions dans le monde en général et particulièrement en Afrique.
En exhortant les diplomates à ‘’riposter aux narratifs russe, chinois ou truc’’ le patron de l’Élysée se lance dans une conquête de charme face à la sympathie galopantes des populations africaines envers les rivaux français sur le continent. Cependant, la minimalisation de l’intelligence africaine au bénéfice des étrangers qu’expose le chef d’État français sous-tend l’incapacité des africains à mener leurs combats d’eux-mêmes. Or, la jeunesse africaine, inspirée des ingérences de Paris dans les pays ainsi que le passé colonial douloureux causé par la France, incite son éveil et exige une revue des contrats avec l’ancienne puissance colonisatrice. Dans le registre des réclamations, le départ des troupes françaises en Afrique et la fin du FCFA se situent au premier rang des contestations.
A propos du virtuel notamment les réseaux sociaux, Emmanuel Macron appelle les représentants de l’État français en service à l’étranger à être ‘’plus actifs sur les réseaux sociaux’’. Une alerte dans un système d’inter connectivité caractérisé par les influences du numérique et la diffusion rapide des savoirs et des informations jadis tenues secrètes.
Tchuisseu Lowé Correspondant Nexfrica pour le Cameroun